Découvrez les résultats du 3ème quadrimestre du baromètre 2022 des PME et ETI de l’Entreprise DU FUTUR powered by implid !

1000 Présidents et Directeurs Généraux de PME & ETI interrogés, pour dégager les grandes tendances de leurs actions et orientations stratégiques autour de 5 enjeux clés de l’acronyme H.E.R.O.S. O comme "Orchestrateur" : découvrez les résultats du 3ème quadrimestre 2022* !

O comme "Orchestrateur" : 

  • 45% des PME et ETI trouvent utiles les mesures de soutien de l’Etat face au contexte énergétique et à l’inflation alors que 28% les trouvent très peu utiles, voire pas du tout. 1 PME et ETI sur 4 ne pensent pas bénéficier de ces mesures de soutien.
  • 28% des PME et ETI n’anticipent pas les risques de pertes de performances opérationnelles et financières liées aux enjeux juridiques du numérique. 72% sont en revanche accompagnées sur ces enjeux par une équipe en interne (20%), en externe (14%) ou mixte (38%).
  • Les 3 enjeux prioritaires des PME et ETI pour 2023 sur leur performance sont :
    - 48% l’optimisation des processus industriels ;
    - 17% la digitalisation des fonctions supports ;
    - 15% la gestion et valorisation de la donnée extra-financière.

*Enquête réalisée par l’Entreprise DU FUTUR et implid en décembre 2022, auprès de 1000 dirigeants de PME & ETI de tous secteurs d'activités. Panel de 140 répondants composé de : 54% PME | 34% ETI | 6% de Grands Groupes | 6% TPE. Typologie secteurs d'activités : Industrie : 48% | Services 26% | Conseil : 12% | Retail : 9% | Numérique : 5%

Découvrez le point de vue de Nathalie Pradines, country manager France du groupe Vertical, sur les enjeux stratégiques de croissance externe du groupe Vertical.

 

 

Nathalie Pradines, country manager France du groupe Vertical, partage avec nous les perspectives de croissance du Groupe pour 2023, notamment sur leurs enjeux en matière de croissance externe afin de couvrir l'intégralité des métiers de la communication, mais aussi soutenir le développement à l'international du groupe.

Qui êtes-vous ? 

Je m'appelle Nathalie Pradines, je suis country manager France du groupe Vertical, c’est-à-dire, le pilotage opérationnel du groupe Vertical.
Le groupe Vertical existe aujourd'hui sur le plan national et représente un peu plus de 300 collaborateurs en France.
Nous sommes implantés dans une douzaine de villes. Notre objectif est d'être présent dans toutes les grandes métropoles.

Où en êtes-vous aujourd’hui par rapport à vos objectifs de croissance ? 

Le groupe Vertical poursuit aujourd'hui sa structuration autour de trois leviers stratégiques de structuration.

Le premier, c'est le mapping géographique où nous avons encore de trous dans la raquette en France. Il existe en effet des bassins économiques sur lesquels nous ne sommes pas assez présent, et il y a des choses à faire en proximité,.

Le second levier, c’est de la stratégie d'acquisition sur nos métiers. Aujourd'hui, le groupe Vertical couvre pratiquement l'intégralité des métiers de la communication. Nous avons encore quelques petits trous à combler en matière d'événementiel, de vidéo... Il y a également quelques métiers niches que nous souhaitons aussi pouvoir adjoindre à nos services intégrés.

Et puis le dernier levier, ce sont les expertises sectorielles. Le groupe Vertical se positionne de manière très forte sur un certain nombre de secteurs d'activité, comme l'immobilier, la santé, le sport, le retail, la franchise. Et les agences qui sont aujourd'hui ciblées intègrent ces verticales-là pour venir les renforcer.

Quelles sont vos perspectives de croissance pour le 2 à 3 ans à venir ? 

Notre stratégie repose principalement sur la croissance externe.

Donc difficile de savoir quelles vont être les entreprises à trois ans. On sait déjà qu’en 2023 nous aurons à minima cinq grosses acquisitions à l'international, avec le développement en Europe. Parmi les cinq que je viens de vous citer, il y en a une qui se trouve en Belgique.

Aujourd'hui, Yann Rambaud rencontre des gens en Espagne, en Suisse. Mais le groupe a pour vocation en 2023 et encore plus en 2024, d'aller s'étendre en Europe.

Quels sont les principaux enjeux en matière de croissance externe ? 

Les principales difficultés que l’on peut rencontrer en matière de croissance externe sont souvent humaines et culturelles.
Les blocages vont se faire parce que, d'un côté comme de l'autre, on n'arrive pas être en phase sur pourquoi on fait le deal. Est-ce qu'on s'y retrouve en termes de valeur ? Est-ce que les gens vont intégrer la culture du groupe telle qu'on leur présente et telle qu'on la défend ? Les seuls points de blocage sont là.

Financièrement, il n’y a jamais eu aucun blocage. Les seuls vrais enjeux sur lesquels il faut, effectivement, bien se caler en amont, c'est la cohérence culturelle et la cohérence métier qu'on va rencontrer pour que ce soit gagnant - gagnant. Sinon, c'est évidemment un deal qui va être compliqué ensuite pour les uns ou pour les autres.